En l'occurence "2 êtres vous manquent, mais tout va pour le mieux" en ce qui concerne le Lutin.
Voilà 24 heures qu'il est chez ses grands parents, sans nous.
Je me dis qu'un petit bilan s'impose :
De notre côté :
- Ce matin au réveil, nous étions que 2 dans le lit. Oui d'habitude on est 3. Rapport au Lutin qui vient nous réclamer son biberon/déjeuner/jouet tôt.
Mais par habitude, Monsieur Ours était réveillé tôt quand même.
Comme il n'y avais pas un minus à emmener à la crèche (ni même à habiller/laver/mettre dans la voiture), Monsieur Ours est arrivé au boulot bien plus tôt que d'habitude (mais genre beauuuuucoup plus tôt quoi ! Oo)
De mon côté, j'ai travaillé (même que j'ai bossé beaucoup plus tard que d'habitude), après avoir pris le temps de faire une grasse mat' toute relative.
Ce soir, Monsieur a vaqué à son occupation du lundi soir et moi, j'ai honoré mon rdv avec Lily Rush (par contre j'ai vu que j'ai posé un lapin à l'amour est dans le pré, du coup, je culpabilise).
Niveau moral on gère.
Du côté du Lutin :
Frais et dispo, le biberon dans la main, la tartine dans la bouche, il cherche sa Tatie... Oui, tu as bien lu. sa Tatie ! Pas un mot sur ses parents.
A chaque coup de fil reçu chez mes parents, il a voulu parler à l'interlocuteur. A tous les interlocuteur. De ma cousine en passant par le télévendeur de Thiriet. Mais pas à moi. Non. (Et à l'intonation de son "Non", j'ai bien compris qu'il avait bien mieux à faire... genre raccrocher pour appeler Tatiiiiiie !)
Je pense pouvoir dire que :
- Le Lutin n'est pas attaché à ses parents : tant qu'il y a un téléphone, un biberon et des pâtes, il est bien là où il est.
- Les employeurs de Monsieurs Ours aimeraient que le lutin soit plus souvent en vacances chez ses grands parents pour que leur employé arrive à 9h et non pas à 10h30.
- Monsieur Ours et moi sommes très heureux que Le Lutin s sente bien, mais nous pensons qu'il aurait pu avoir la descence de pleurer après nous quand on a téléphoné.